Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (1Ère Partie)
Avant propos : Depuis quelque temps, mon rôle dauteur dhistoriettes érotiques devient de plus en plus facile. En fait je nécris presque plus rien; je ne fais que servir dintermédiaire entre des auteurs (es) et déventuels (elles) lecteurs (trices) en reprenant, presque sans y toucher, des histoires vécues par des hommes et des femmes qui veulent profiter de lespace que moffre gentiment HDS pour raconter, faire connaître et partager leurs expériences érotiques particulières.
Lhistoire qui suit ma été envoyée par mail, par la femme Najia qui la vécue (et continue de la vivre aujourdhui encore). Au début, elle navait fait que réagir à une de mes petites histoires érotique en y apportant un commentaire élogieux se terminant par ces mots qui avaient attirés mon attention: « je suis entrain de vivre quelque chose danalogue. Et si vous le voulez bien, je pourrais vous raconter une expérience, que jusque là, je croyais seule dans ce pays à avoir vécue. »
HDS, qui mavait transmis le commentaire, avait ajouté ladresse mail de la lectrice.
Je répondis donc à la dame en lui précisant que jétais vraiment curieux de connaitre lhistoire quelle était entrain de vivre, tout en étant presque sûr quil ne pouvait sagir que dune histoire ordinaire dadultère mal assumée. Mais lhistoire qui me parvint - pratiquement par retour de courrier mavait sidérée. Et je suis convaincu que rien quaucun détail navait été inventé. A ce jour, je nai pas encore fait la connaissance de Najia, mais elle mavait donné les coordonnées de son mari pour que je prenne contact avec lui pour massurer de la véracité des propos tenus. Bien
entendu, je nai pas cherché à joindre Rachid, le mari cocu (je ne savais pas trop quoi lui dire, ni comment le lui dire), mais le simple fait quelle mavait laissé la possibilité de vérifier les faits avait suffi à me convaincre.
Voici donc, sans pratiquement aucune retouche, lhistoire dun adultère assez spécial, racontée à la première personne par sa protagoniste principale.
Gérache
Je mappelle Najia (un prénom un peu spécial qui doit être une contraction, ou une manière de prononcer, le prénom plus usité de Nadjia). Je viens davoir cinquante ans. Je suis mariée depuis vingt-cinq ans à un homme que je nai pas peur de qualifier de « parfait ». Il a cinq ans de plus que moi, bien de sa personne, sans être ni trop beau, ni trop grand, ni trop musclé, ni
Un homme normal en somme. Sauf quil est trop gentil, trop brave, trop calme, trop intelligent, trop
!
Jusque là, nous avions vécu une vie de couple que je qualifierai de normale. Vingt-cinq ans de vie commune, avec à la clé deux magnifiques s (un garçon et une fille) et une relation de couple dans laquelle le sentiment de tendresse - qui avait été le socle de notre couple - a pu venir à bout des nombreux problèmes qui avaient parsemé notre vie de famille. Nous avions toujours vécus seuls - loin de nos parents respectifs (nos belles familles) qui auraient pu nous empoisonner la vie et avions fait absolument tout ce que nous voulions. Nous avions élevés nos s comme nous le voulions. Ils ont tous les deux fait de brillantes études supérieures et ont émigré au Canada, où ils semblent se plaire.
Nous sommes depuis restés seuls ; tel un vieux couple. Du moins cétait ce que je croyais au moment où Lila, notre fille avait pris lavion à destination de Montréal, pour y retrouver son frère, installé depuis deux ans. Javoue que jappréhendais beaucoup ce moment où Rachid et moi allions rester seuls, sans les s, qui avaient complètement occupé notre vie de parents. Quallions-nous faire de nos journées ? Comment allions-nous faire pour trouver dautres occupations, et compenser labsence des s ?
Je nai pas encore parlé de notre vie amoureuse à Rachid et à moi. Cétait un vrai long fleuve tranquille ! Rien de vraiment extraordinaire ! Nous faisions lamour assez régulièrement, mais je ne crois pas que ni lui, ni moi avions une seule fois atteint le nirvana en faisant lamour ! Nous avions des jouissances « normales » ; aujourdhui - lexpérience dautre chose aidant - je peux dire que cétaient de toutes petites jouissances ; je ne sais même pas si je peux parler dorgasmes pour qualifier ces petits plaisirs que nous prenions Rachid et moi au cours de nos étreintes.
- Allo, Rachid ! Que se passe-t-il ?
- Ah non ce nest pas Rachid ! Cest Moussa !
-
.
- Oui je sais que tu ne me connais pas ! Mais moi je te connais très bien ! Je suis un collègue de Rachid ! Un ami !
Javais remarqué le tutoiement. Je me disais que le Moussa en question ne manquait pas de toupet : non seulement, il mappelait au milieu de la nuit, mais en plus, il me tutoyait comme si jétais sa petite amie. Jallais répliquer méchamment avant de raccrocher. Mais quelque chose de plus fort que moi me retenait de le faire. Peut-être la curiosité de connaître les tenants et aboutissants du coup de fil. Ou sa voix ! Cette voix particulière, grave et chaude, qui susurrait les mots. Une voix
vraiment sensuelle. Je sentais quelque chose en moi qui se réveillait. Quelque chose de totalement enfoui dans mes tréfonds. Quelque chose que je navais encore jamais ressenti. Je prêtais donc une oreille plus attentive à cette voix.
- Tu sais Rachid narrête pas de me parler de toi. Pour ne dire que du bien : que tu es la plus belle femme quil connaisse ! Que tu es la plus gentille ! Que tu mérite de nager dans le bonheur !
- Arrête tes salades ! Rachid ne parle pas de sa femme avec des inconnus ! Cest un homme discret et pudique !
- Cest vrai, mais moi je ne suis pas un inconnu ! Je pense même être devenu son ami ! Nous nous connaissons depuis quelques mois et entre nous le courant passe très bien.
- Arrête ! Je vais raccrocher !
- Non ne raccroche pas ! Cela ne fera pas plaisir à Rachid ! Il sait que je tappelle (cest même lui qui ma refilé ton numéro de portable) ! Et tu sais pourquoi, il voulait que je tappelle ?
- Non ! Et cela ne mintéresse pas ! Tu ne racontes que des bêtises ! Rachid nest pas comme ça ! Il ne donne pas le numéro de téléphone de sa femme à un étranger ! Et il ne peut pas lui avoir demandé de lappeler en pleine nuit ! Et pourquoi laurait-il fait ?
- Parce que cest ton anniversaire vendredi et quil veut te faire un superbe cadeau ! Un cadeau qui va changer tout le cours de votre vie de couple !
-
Je tombais des nues. Cétait vrai que mon anniversaire mes cinquante ans tombait le vendredi suivant. Rachid mavait toujours offert des cadeaux de valeur pour chacun de mes anniversaires; mais de là à moffrir quelque chose qui allait changer le cours de notre vie de couple, par lintermédiaire dun étranger
Je narrivais pas à comprendre. Dailleurs que signifiait le fait de vouloir changer notre vie de couple ? Jétais très bien comme ça et je navais jamais fait la moindre remarque qui pouvait montrer que javais envie de changer quoi que ce soit dans ma vie.
Quest-ce qui nallait pas dans notre vie de couple pour vouloir la changer ?
- Je ne comprends absolument rien à ce que tu racontes. Il ny a rien à changer dans notre vie de couple ! Nous sommes très heureux comme cela !
- Bien sûr que vous êtes heureux ! Cest ce quil narrête pas de me dire ! Mais il vous manque quelque chose de fondamental et lui sen est rendu compte depuis quelque temps !
- Quoi ?
- Une vie sexuelle vraiment à la hauteur ! A la hauteur de vos désirs ! De vos fantasmes ! Rachid pense quil ne ta encore jamais donné tout le plaisir auquel tu avais droit.
tempêchait de touvrir sur le vrai plaisir du sexe.
Jécoutais ce que disait Mouloud, sans trop comprendre ce qui se passait. Cétait comme si le ciel me tombait sur la tête ! Je navais encore jamais imaginé Rachid pensant de telles choses ; et surtout les avouer à un autre homme ! Javais bien remarqué que mon mari était tenté de faire, de temps en temps, certaines choses avec moi pendant nos ébats. Il navait jamais trop insisté peut-être parce quil me voyait me cabrer et croyait que jétais foncièrement opposée à ces choses là.
Javais, par exemple souvent remarqué quil aurait bien voulu me sodomiser - certaines approches pendant nos ébats me le suggéraient fortement mais il nallait jamais trop loin en voyant que je me crispais, ce quil interprétait comme un refus de ma part daller sur ce terrain. Les seules incartades quil se permettait et qui me mettaient en joie quand elles se produisaient cétait des moments de cunnilingus torrides qui me procuraient un plaisir intense que je nosais pourtant pas trop montrer, de peur dêtre mal jugée.
Je me permettais moi aussi, de temps en temps, de tenter une petite fellation, pensant que Rachid allait aimer (et il aimait, mais sans oser me le dire) mais qui sarrêtait toujours à mi-chemin : il nosait pas aller trop loin dans ma gorge et surtout, il se retenait de jouir dans ma bouche (ou sur mon visage) pensant certainement que je naurais pas aimé.
Je venais de découvrir, en écoutant Moussa parler du couple que nous formions depuis plus de vingt-cinq ans Rachid et moi, que nous sommes passé à côté de beaucoup de choses. Et, à mon grand étonnement je sentais mon corps qui se réveillait. Cétait comme sil sortait dun long très long sommeil. Mon cur commençait à battre très fort ; le bout de mes seins durcissait ; mon bas-ventre me titillait ; et, à mon grand étonnement, je sentais que ma chatte se mettait à couler et à mouiller ma culotte. Une douce chaleur semparait de moi et irradiait sur tout mon corps. Je navais encore jamais ressenti cette sensation de désir irrépressible semparer ainsi de tout mon corps. Ou bien cétait il y a tellement longtemps - quand jétais encore une jeune fille en fleurs et avant que ne commençât ma vie de couple.
La voix grave et sensuelle de Moussa ne faisait quaccen cette sensation de désir qui métreignait et ce besoin de me toucher. Inconsciemment ma main droite se promenait sur mes seins : tout en écoutant les paroles qui me parvenaient du téléphone portable, jétais entrain de me caresser. Mes doigts palpaient doucement un téton puis lautre en les enroulant comme sils étaient deux billes faites de chair ferme. Mais au lieu de me calmer, cela ne faisait quaccroitre mon envie de faire lamour. Une envie dont je commençais à me rendre compte et qui me mettait mal à laise.
Mais rien ny faisait : javais de plus en plus envie.
A cette époque, je nosais pas encore mettre les mots quil fallait sur mes sensations. Je nosais pas mavouer que je voulais être tirée, baisée, niquée... Je me disais seulement que javais envie !
Javais envie que lhomme qui était à lautre bout du fil apparaisse soudain devant moi et me fasse lamour. Javais envie quil me dise que je lui plaisais et quil voulait venir me rejoindre dans mon lit. Javais envie quil me fasse tout ce que lui avait envie de me faire ; même les choses inavouables pour une femme éduquée de manière aussi traditionnelle que moi. Moussa lui continuait de me parler sans élever la voix ; comme sil voulait que je me concentre sur elle pour saisir tout ce quil était entrain de dire.
- Rachid pense que vous avez trop perdu de temps avec la morale ambiante. Quil est temps que lui et toi passiez aux choses sérieuses. Que vos corps et vos âmes exultent ! Lun avec lautre !
Lun grâce à lautre ! Et même avec dautres ! Je vais te dire quelque chose qui va tétonner - et peut-être même te choquer - Rachid désirerait te faire vivre une vraie expérience sexuelle avec un autre homme : moi !
-
Je ne disais toujours rien. Jallais de surprise en surprise. Mon mari voulait moffrir à un autre homme ! A Moussa ! Afin que je vive une expérience érotique torride et inoubliable ! Que japprenne ce quest réellement le sexe ! Que jen devienne accro ! Et Moussa était ce cadeau danniversaire exceptionnel que voulait me faire mon mari pour mes cinquante ans. Jétais très partagée : dun côté jen voulais à Rachid de se comporter ainsi. Je me disais que pour en arriver là, il fallait quil
ny ait plus chez lui un seul gramme damour envers moi. Sil maimait toujours, il ne pouvait pas penser une seule seconde à moffrir à un autre homme. Sil maimait, il ne pouvait quêtre jaloux et chercherait à me garder pour lui tout seul.
Dun autre côté, tout ce que disait Moussa me remplissait dun sentiment bizarre : le sentiment dêtre importante et de plaire. Le sentiment de susciter du désir chez les hommes. Le sentiment dêtre devenu un objet sexuel. Et cétait loin de me déplaire. Je voulais plaire aux hommes. Je voulais quils me désirent ! Je voulais quils bandent pour moi ! Je voulais être celle qui les empêcherait de dormir ! Celle sur qui ils se branleraient la nuit ! Et Moussa continuait de parler.
- Je suis ton cadeau danniversaire ! Et je te promets que tu en seras très contente ! Je suis un vrai bon coup ! Dabord je suis bien monté ! Tu comprends ? Jai un sexe de bonne taille ! Tu nas encore jamais été tirée par une queue comme la mienne ! Une fois que tu y auras goutté, tu ne pourras plus ten passer ! Ensuite, je suis quelquun de résistant. Je peux passer une nuit entière à baiser sans me fatiguer. Ma queue est en acier ! Elle nest jamais au repos !
- Arrête de te vanter ! Je ne crois pas un mot de tout ce que tu racontes ! Rachid ne peut pas tavoir raconté tout ce que tu dis. Et surtout, il ne peut pas avoir pensé une seule seconde à moffrir à un autre homme ! Il maime trop pour cela !
- Cest bien parce quil taime quil veut pour toi ce quil y a de mieux ! Cest-à-dire moi ! Il ne me la pas dit comme cela, mais je crois que ton mari fait partie de ces hommes qui prennent du plaisir à porter des cornes ! Je suis sûr que son bonheur serait de te regarder te faire tirer par un autre homme ! Et jouir comme une folle devant lui ! Mais pour le moment, il se contentera de timaginer subir les assauts de son ami Moussa et y prendre un immense plaisir ! Quand est-ce que je viens ?
- Tu es fou ! Il nest pas question que tu viennes ! Ni quil se passe quoi que ce soit entre nous ! Dabord quest-ce qui te dit que tu es mon genre dhomme ? Que jai envie de faire lamour avec toi ?
- Je sais que tu en as très envie ! Je sais quen ce moment même tu es entrain de te caresser ! Jentends presque le bruit que font tes doigts à lintérieur de ta chatte qui coule de désir! Jentends le clapotis ! Ose me dire que ce nest pas vrai ! Je voudrais que tu te lâches et que tu te mettes à gémir ! Je sais que tu as envie de gémir ! De crier ! Laisse-toi aller !
Ce diable dhomme avait deviné juste. Après les petites caresses presque inconscientes sur mes seins et mes tétons, jétais passée, tout aussi inconsciemment, à mon entrecuisse. Dabord je me caressais discrètement par-dessus la culotte (comme si javais peur que lhomme me voit entrain de me masturber) puis plus franchement en faisant pénétrer trois doigts à lintérieur de mon vagin et en my prenant avec vigueur. Comme il lavait deviné, je mefforçais de me retenir de gémir. Alors que lenvie de le faire se faisait de plus en plus pressante. Ma chatte était pleine de jus et mes doigts faisaient effectivement un bruit de clapotis à lintérieur. Je voulais marrêter de me masturber - javais honte de ce que je faisais - mais une force supérieure mempêchait de le faire.
Je continuais de plus belle, en écoutant la voix envoutante de Moussa.
- Ne te retiens surtout pas ! Laisse-toi aller ! Continue de faire aller tes doigts à lintérieur de ton vagin ! Combien as-tu mis de doigts ?
- Trois !
Javais répondu instinctivement ; sans réfléchir. Jétais maintenant prise au piège. Je ne pouvais plus reculer. Et puis je navais absolument pas envie de reculer. Je voulais jouir très fort! Et rien ne pouvait plus men empêcher. Et Moussa navait certainement pas envie de men empêcher.
- Cest bien ! Continue ! Dis-moi à quoi, ou à qui, tu penses en te caressant. A moi ? A ma grande queue ?
- Oui ! A une grosse queue qui me remplit complètement le vagin et qui me pilonne comme une brute ! Je veux une queue que je sente bien en moi ! Une queue qui me fait très mal en me possédant ! Une queue qui devient mon seigneur et maître ! Un vrai zob dhomme !
- Comme le mien ! Un vrai zob dhomme ! Ferme les yeux et imagine-moi entre tes cuisses. Imagine un immense zob à lentrée de tes grandes lèvres qui souvre la voie royale entre elle et qui sapprête à entrer dans le tunnel. Imagine la poussée brutale de mes hanches et la douleur quand mon zob prend possession de ton tunnel. Tu sens toute sa force ? Tu sens comme il lime la paroi de ton vagin ? Tu sens comme il est heureux à lintérieur ?
- Oui ! Il me fait atrocement mal ! Mais quel plaisir et quel bonheur que cette douleur ! Encore ! Continue daller et venir comme cela ! Comme une brute ! Jaime être niquée comme ça : en force ! Continue, nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi ! Je vais jouir ! Je jouiiis !
Et effectivement javais joui comme jamais je navais joui auparavant. Une jouissance qui dévala des tréfonds de mon corps, qui se positionna un moment sur tout mon bas-ventre puis qui irradia vers ma poitrine et mon cur, qui faillit sarrêter, tant il battait trop vite. Javais vaguement conscience quil venait de se passer quelque chose dexceptionnel et danormal. Mais au fond de moi, je nen avais cure. Jétais encore toute à mon bonheur davoir joui. Davoir vraiment joui ! Rien quen me
caressant et en écoutant un homme me parler.
Puis petit à petit je sortis du brouillard dans lequel jétais et je pris conscience de la situation. Jeus un peu honte de mon comportement. Mais je me retenais bien de le dire à mon partenaire. Ce fut lui qui parla le premier. Non pas pour se vanter ou se féliciter, ou me reprocher quoi que ce soit, mais pour me répéter que jétais une femme exceptionnelle et que mon mari Rachid avait raison de dire que je méritais de connaître le vrai bonheur; le bonheur qui provient de relations sexuelles débridées et dune vie érotique libérée.
- Jaurais bien voulu te rejoindre cette nuit, mais il est trop tard. Je le ferai demain soir, après le travail, vers dix-neuf heures. Je veux que tu sois prête à accueillir ton cadeau danniversaire. Tu verras, tu ny trouveras que du bonheur !
Et il raccrocha subitement; sans me laisser le temps de refuser sa proposition. Ma première réaction était en effet de lui dire non. Il nétait pas question pour moi de laccueillir chez moi - chez nous - sous notre toit conjugal ; dans notre chambre conjugale ; sur notre lit conjugal ! Mais cet état desprit ne dura que quelques secondes (quelques minutes au plus !) Rapidement le souvenir de la jouissance de tout à lheure vint simposer à moi et mempêcha de penser à toute autre chose qui ne soit pas le plaisir qui mattendait la nuit prochaine. Jy pensais tellement que javais du mal à trouver le sommeil. Je métais même remise à me masturber pour calmer le désir qui continuait de métreindre. Je neus pas un orgasme identique à celui que je vécus quelque temps auparavant, mais cela suffit à calmer mes nerfs. Je pus enfin plonger dans un profond sommeil. Un sommeil plein de gros zobs qui me prenaient de toutes parts.
En me réveillant le matin, le souvenir de Moussa revint brutalement occuper ma pensée. Il ne me quittera plus de toute la journée. Au travail je suis professeur de français dans un lycée dAlger je vaquais comme un zombie, lesprit occupé par les évènements de la nuit passée et ceux qui allaient advenir la nuit prochaine. Vers midi, comme à son habitude, Rachid mappela pour senquérir de mon état de santé et pour me demander, sans avoir lair dy toucher, sil ny avait rien eu dexceptionnel la nuit précédente.
- Si jai reçu un appel, tard dans la nuit, dun homme qui se prétend ton ami et qui ma dit des choses étonnantes sur notre couple.
- Tu as apprécié ? Moussa est un gars vraiment bien ! Un homme totalement différent de ceux que nous connaissons et fréquentons. Je crois que tu aimeras sa compagnie.
- Y compris quil soit mon cadeau danniversaire ?
- Oui ! Je sais quil te plait déjà. Il ma appelé pour me raconter votre discussion et le rendez-vous pris pour cette nuit. Cela me fait plaisir. Jespère que tu vivras des instants merveilleux.
- Tu veux dire que tu veux vraiment que je couche avec lui ? Que tu nes pas jaloux ? Que tu ne men voudras pas de te tromper ? Tu maimes donc si peu ?
- Au contraire, je taime beaucoup plus ! Cest pour cela que je veux que tu vives complètement ces instants dérotisme intense ! Il ny a pas eu jusquici beaucoup de moments érotiques entre nous. Et je sais que cest un vrai manque dans notre vie. Je veux que cela change et que notre vie prenne une nouvelle direction : celle du sexe libre ; du sexe débridé. Cela ne veut pas dire que nous navions pas été heureux auparavant. Nous avons eu beaucoup de bonheur. Mais aujourdhui, il nous faut aller plus loin ; il nous faut atteindre le Paradis.
- Et tu penses quen couchant avec ton ami, nous atteindrons le Paradis ? Je peux imaginer que moi je sois heureuse (en admettant que ton ami soit vraiment un super coup), mais toi, où sera ton plaisir ?
- Dans le tien ! Je serais très heureux de savoir que tu as atteint des sommets de plaisir sexuel avec Moussa (ou même avec un autre homme). Ton bonheur sera le mien. Surtout, si après tu me racontes tout ce que tu as ressenti ! Je te dégoute ?
Je nai pas su quoi répondre à sa dernière question. Jai marmonné quelque chose dinaudible et jai raccroché. Je ne voulais pas lui dire que jétais impatiente de rencontrer Moussa. Que jétais vraiment sur des charbons ardents. Que plus lheure approchait et plus mon cur battait plus vite et plus fort. Et plus lémotion qui mavait étreinte la nuit dernière revenait à grand pas et mettait mon corps en émoi. Je quittai le lycée vers quinze heures et rentrai directement à la maison. Je passais tout le reste du temps à me préparer à recevoir Moussa, comme si jétais une nouvelle
mariée. Non seulement je pris un bain très chaud et mépilai avec soin partout y compris mon intimité que je débarrassai de tous les poils qui pouvaient sy trouver mais encore je choisis la tenue la plus affriolante que javais dans ma garde-robe : une petite nuisette super coquine et un ensemble culotte/soutien-gorge en soie noire qui mettait en évidence la blancheur laiteuse de ma peau. Par-dessus, je mis un kimono en soie bleue qui moulait mon corps et mettait en valeur mes rondeurs. Et jattendis avec impatience que la sonnette de la porte dentrée tintât. Je narrêtais pas de me regarder et de madmirer - dans la grande glace du salon. Sans forfanterie je me trouvais belle. Cest vrai que je navais plus la fraicheur de mes vingt ans ; ni la fermeté des chairs que javais à cet âge. Mais je trouvais que jétais toujours une superbe plante.
Pour me décrire rapidement, je dirais que je suis une femme plantureuse, avec toutes les rondeurs encore fermes quil faut, là où il faut. Jai surtout un superbe fessier qui faisait fantasmer tous les hommes que je croisais dans la rue. Je suis très blanche de peau une Kabyle du Djurdjura avec un visage long se terminant par un menton volontaire, un nez droit un peu trop grand à mon goût des yeux marron-clairs et une grande bouche gourmande. Mes dents, sans être celle dune publicité pour un dentifrice, sont blanches, bien plantées et régulières. En somme, un physique plutôt agréable, que même les garçons du Lycée trouvent bandant (cest du moins ce que mes collègues femmes, narrêtent pas de me répéter depuis des lustres que jenseigne dans cet établissement).
Pendant tout le temps que jattendais son arrivée, je me posais des tas de questions sur Moussa : surtout sur son physique et son âge. Si je devais me fier à sa voix, il ne devait pas avoir plus de trente-cinq ans. Sa voix était celle dun homme mûr ; dun homme avec un vécu avéré, mais pas encore blasé. Au maximum, me dis-je comme pour me rassurer il devait avoir quarante ans. Pour la beauté, je ne savais pas trop ; la voix ne donne aucune indication. Mais javais lespoir que cétait un bel homme ; même si ce nétait pas un Apollon. Jen étais là dans mes réflexions quand la
sonnette de la porte dentrée retentit. Mon cur se mit à battre la chamade. Javais limpression quil allait exploser. Je mefforçai de me calmer un peu, avant daller ouvrir. Je ny arrivai pas totalement et ce fut en tremblant un peu que jouvris la porte et me trouvai en face de Moussa.
La première réflexion qui me vint en tête à ce moment précis est que je venais douvrir à un pirate les pirates que lon voit dans les films hollywoodiens. Il en avait la prestance et la dégaine.
Dabord, il était très grand et mince - presque maigre avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et des jambes qui nen finissaient pas. Il avait cette fameuse barbe de trois jours - dont je me demande aujourdhui encore comment il faisait pour la maintenir en létat des cheveux noirs, raides et longs, qui lui tombaient sur la nuque ; et un visage basané, anguleux, comme taillé par une serpe. Son long nez droit et son menton volontaire accentuait encore plus cette impression de plus en plus présente que javais affaire à un pirate. Sans parler de ses petits yeux noirs au regard brillant et du sourire moqueur quil avait en permanence sur les lèvres. Je ne parle pas non plus de son immense bouche gourmande et des canines de prédateur qui apparaissaient sous ses fines lèvres, constamment ouvertes. Et pour confirmer cette apparence, il portait un costume en toile légère de couleur grise, dont la veste déboutonnée laissait apparaître une chemise à petits carreaux bleus, négligemment ouverte sur un poitrail velu.
- Bonsoir ma grande ! fit-il avec un sourire de carnassier qui présageait dune suite des plus torrides. Je vois que tu mattendais ! Tu es super mignonne ! Mieux que dans la photo !
- Bonsoir ! répondis-je dune toute petite voix.
Jétais vraiment intimidée. Dabord lhomme était à laise. Trop à laise par rapport à moi qui me sentais comme un petit lapin prise au piège. En plus, il était beau. De cette beauté virile qui navait rien avoir avec la régularité ou la finesse des traits. La beauté du Diable ! Il donnait lair davoir environ trente-cinq ans, mais jétais sure quil se vieillissait volontairement par sa manière de se tenir et de shabiller. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Un ! Du moins comparé à moi, qui allais avoir cinquante ans, le lendemain. Jétais encore plus intimidée. Je
lui fis signe gauchement de me suivre vers le grand salon qui se trouvait au fond du couloir. Je le devançais pour lui indiquer le chemin. Mais avant davoir fait un mètre, je sentis sa main qui venait de se poser sur mes fesses. Jeus une crispation involontaire, comme pour réagir à un geste incongru, mais me repris très vite, en me disant que cétait normal quil se comporte ainsi : sil était là, si je lavais laissé entrer, si je le précédais vers le grand fauteuil du salon, cétait uniquement pour cela : pour me tirer ! Et je ne pouvais être que consentante.
- Rachid a vraiment raison ; tu as un cul superbe ! Il ne faut pas te scandaliser, cest de ma part un vrai compliment !
-
Je ne répondis rien. Dailleurs quaurais-je pu répondre qui aurait pu changer le cours des choses. Et puis avais-je vraiment envie que le cours des choses changeât ? Non ! Mille fois non ! Au contraire je voulais jespérais que les choses saccélèrent et que mon pirate me saute dessus.
Je voulais quil exerce sa force sur moi et me soulève du sol pour me jeter sur le divan. Je voulais quil déchire mon kimono et ma nuisette et mes dessous. Je voulais
Mais Mouloud continuait de me caresser les fesses, sans se presser, tout en marchant derrière moi. Je sentais son énorme paluche qui malaxait une fesse et puis lautre; en insérant de temps en temps un doigt entre elles, pour aller à la recherche de mon anus. Il mest aujourdhui encore très difficile de décrire les sentiments qui me traversaient en ce moment précis. Cétait un mélange dexcitation excitation provoquée surtout par la situation bizarre dans laquelle je me trouvais, seule chez moi avec un homme que je ne connaissais pas encore et qui était là pour me tirer et de gêne. Le reste de mon éducation puritaine me commandait de résister à tout ce qui se passait en moi et de chasser lhomme de ma maison.
Mais au lieu de ça, je me laissais faire. Et jétais heureuse de me laisser faire. Même son doigt, qui se faisait de plus en plus insistant sur lanneau de mon anus me procurait une merveilleuse sensation dexcitation. La promesse de quelque chose dinconnu et de nouveau pour moi. La promesse dune sodomisation que je navais encore jamais pratiquée, mais quau fond de moi javais toujours voulu essayer. Et surtout la promesse dune sodomisation à la hussarde; brutale et douloureuse. Je me découvrais soudainement une vraie tendance au masochisme. Je voulais connaître et aimer la douleur dune pénétration anale brutale. Mais là encore, ce nétait que le fruit de mon imagination ; ou de mes désirs les plus profonds. Dans la réalité de la scène qui se déroulait en ce moment là, cétait Mouloud et lui seul qui était le maître du jeu. Qui faisait ce quil voulait et qui me limposait, sans même dire un mot.
Arrivé devant la porte du salon, Mouloud me prit par la taille et me souleva aussi facilement quun fétu de paille. Il me porta vers le grand divan et my déposa délicatement. Moi jattendais à ce quil me jette sur le divan, me débarrasse brutalement de mon kimono, relève le bas de ma nuisette et écarte ma culotte pour découvrir mes fesses et mon anus. Je mattendais à ce quil sorte son engin et, sans précaution aucune, mencule à me faire hurler de douleur. Au lieu de cela, il nutilisa que de la douceur. Il mallongea sur le dos; écarta les pans de mon kimono, resta un moment à regarder à admirer le panorama quil avait sous les yeux et se mit à me caresser les genoux, puis lintérieur des cuisses, puis mon entrecuisse par dessus le tissu de ma culotte.
Ses mains étaient électrisées. Chacune des ses caresses produisait en moi des petites décharges électriques; de toutes petites décharges, qui tétanisaient mes muscles et me faisaient légèrement mal. Un mal qui accroissait lintensité de mon désir. Le désir quil marrache la culotte et soccupe exclusivement de ma chatte, qui dégoulinait de mouille. Je ne voulais plus quil mencule !
Je voulais quil me tire par la chatte. Là ! Tout de suite ! Brutalement ! Mais Mouloud poursuivait le fil du scénario quil avait tracé. Sa main allait et venait autour de ma chatte, sans insister et sans sy arrêter plus dune seconde. Le bougre savait dans quel état jétais. Car même si je ne disais rien, si je mefforçais à résister à lenvie que javais de gémir, ou de prendre sa main pour la forcer à soccuper plus franchement de ma chatte, il était évident que je voulais quil continue et quil aille plus loin. Javais envie de hurler. De lui hurler en arabe, ou même en kabyle, dêtre un homme et de me baiser. De me tirer ! De me piner ! De pilonner ma chatte ! Je regardais Mouloud qui continuait de me caresser doucement, en plongeant ses yeux dans les miens, avec un rictus de carnassier sur les lèvres.
- Ne te retiens pas ! Laisse-toi aller ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse et je te promets de le faire !
- Nik-ni ! Eqou-yi ! Bghit ett-nik ni ! Dhork ! Thoura ! (Nique-moi ! Je veux que tu me niques ! Tout de suite !)
Cétait la première fois de ma vie de femme que je lâchais de telles paroles crues (en arabe et en kabyle). Jamais avec Rachid, je ne métais permise lenvie ne men était même jamais venue de dire de telles choses. Avec Mouloud, elles venaient naturellement. Et je nen avais même pas honte.
Au contraire, ces paroles crues ajoutaient à mon excitation et accroissaient le désir que javais dêtre baisée par cet homme, qui pour le moment se contentait de pousser mon désir vers son paroxysme. Il ne tint pas la promesse quil mavait faite dobéir à nimporte quel désir que jaurais exprimé. Il suivait son propre scénario. Il écarta le bord de ma culotte pour mieux avoir accès à ma chatte. Il la regarda un long moment; il avait accentué son sourire de prédateur et je vis ses narines trembloter de désir. Je sus quil aimait le spectacle qui se présentait devant ses
yeux.
- Ach-hal thezzienn! Ach-hal thel ha! (Comme elle est belle ! comme elle est bonne!) Fkiyits atsmechagh ! Atsetchagh ! Atssoudnagh ! (Offre-la moi, je vais la lécher ! Je vais la bouffer ! Je vais lembrasser !)
Le bougre était lui aussi kabyle ! Comme moi, il utilisait sa langue maternelle pour accroitre son excitation et donner plus dintensité à son désir. Sans attendre que je lautorise à quoi que ce soit, il plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à embrasser, lécher et sucer ma chatte. Cétait divin ! Bien plus excitant que les cunnilingus de Rachid ! Mouloud y allait franchement, faisait pénétrer sa langue profondément dans mon vagin, léchait les parois et ramassait tout le jus quil
pouvait et quil avalait goulument.
Sa bouche se comportait comme une véritable ventouse; elle embrassait, suçait, léchait et aspirait tout le jus qui était à lintérieur de mon vagin. Parfois même, il mordait doucement mes petites lèvres et mon clitoris, me faisant pousser un tout petit ri de douleur. Une douleur tellement agréable ! Cétait délicieux ! Merveilleux ! Jaimais vraiment le mouvement daller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes et petites lèvres et dans mon vagin. Je voulais que sa
langue fût plus grande et plus rigide pour quelle se comportât comme un vrai zob. Je voulais que toute sa tête pénétrât à lintérieur de mon vagin. Jattrapais sa nuque avec mes deux mains pour forcer Mouloud à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, jusquà lanus et vice-versa. Il sappliqua à faire ce que je lui imposais, marrachant des petits cris de plaisir.
Jadorais ce quil me faisait et je le lui faisais savoir en soulevant très haut mon bassin pour mieux coller ma chatte sur sa bouche et pour que sa langue qui farfouillait à lintérieur de mon vagin, allât le plus loin possible. Javais refermé mes cuisses sur sa tête et bougeais maintenant mes hanches au rythme des allées et venues de ses lèvres et de sa langue à lintérieur de mes grandes et petites lèvres. Il léchait, suçait et buvait le jus que je produisais en quantité. Je narrivais plus à retenir les mots et phrases crues qui sortaient de ma bouche (en kabyle et en arabe)
- Etch thahetchountiw ! Koul-li saouti ! Mech-hits ! Echrab ! Essaw ! Ach-hal mlih ! (Bouffe ma chatte ! Lèche-la ! Bois ! Comme cest bon !) Rahi djaya ! Ad-tsass ! Thoussad ! Thoussaaaaaad ! (Je vais jouir! Je jouis ! Je jouiiiiis !)
Je relevais un plus mes hanches, écartai mes cuisses, attrapai sa tête à deux mains et appuyai sur elle pour lobliger à bouger de plus en plus vite sur ma chatte. Puis je poussai un long râle de jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans sa bouche.
- Echrab ! Essaw ! Essaw dhi thalaw ! (Bois ! Bois ! Bois dans ma source!)
Et je maffalai, fourbue et heureuse sur le canapé, appuyant toujours sur la nuque de mon homme pour que sa tête ne sorte pas dentre mes cuisses. Je ne lâchai prise quune fois avoir repris presque totalement mon souffle. Mouloud leva la tête pour me regarder. Il avait toujours son sourire de prédateur. Il semblait content de lui.
- Tu apprends vite ! Cest excellent ! Continue comme cela et tu verras, nous allons passer une nuit inoubliable. Une nuit qui sera pour toi le début dune nouvelle vie amoureuse. Tu ne voudras plus jamais revenir en arrière. Et tu en remercieras toute ta vie Rachid qui a permis cela.
Pour dire vrai, je nétais pas très sensible à ce quil racontait; ce nétait pour moi que de la philosophie à la petite semaine; et en ce moment là jétais à mille lieues de mintéresser à la philosophie; même si celle-ci me concernait au plus haut point. Ce que je voulais pour linstant, cest que cette nuit qui avait si bien commencé ne sarrête pas en si bon chemin. Je voulais continuer de jouir comme une bête ; comme une chienne. Javais pris goût à la jouissance sexuelle : depuis la nuit dhier, je jouissais avec une intensité de plus en plus grande. Et je voulais
maintenant connaître le paroxysme de la jouissance; celle que me procurera la queue de mon homme. Je ne lavais pas encore vue, mais jétais sure quelle était énorme. Dabord, il mavait dit, la nuit dernière, quil avait une superbe queue. Et puis je voyais limmense bosse quelle faisait sur le devant de son pantalon. Je voulais la voir !
- Bright enn-chouf zebek! Emliyi-thid! Werrihou li! Kherdjouh! Soufghi-thid ! (Je veux voir to zob! Montre-le-moi! Sors-le !)
Jessayai maladroitement douvrir sa braguette, sans y parvenir. Javais les doigts qui tremblaient trop. Il soccupa lui-même de dégrafer la ceinture, puis le bouton qui tenait le pantalon et douvrir la braguette. Tout cela en moins de temps quil me fallu pour le lui demander. Il rabaissa son pantalon sur ses genoux et resta en slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui apparaissait en dessous de lélastique du slip. Je ne résistai pas à lenvie de tendre la main pour le sortir complètement de sa prison. De ma vie, je navais encore
jamais vu une bite aussi belle! Aussi longue! Aussi grosse! Je navais vu, en vrai, que celle de mon mari ; et elle était beaucoup plus petite que celle que javais sous les yeux. Mais même dans les photos et vidéos que javais pu voir ça et là, javais rarement rencontré une queue aussi grande et aussi puissante. Et aussi bien entretenue !
- Wagui dha bouch ! Hadha zeb ! (Ça cest un zob !) ne pus-je me retenir de dire.Elle était vraiment magnifique ! Je me fis la réflexion quavec un tel engin, il allait me déchirer la vulve. Et si jamais, il me sodomisait, je ne pourrais plus massoir avant au moins un mois. Mais au lieu que cela me fît peur et ne tempérât mon excitation, ce fut le contraire qui se passât : javais encore plus envie de me faire tirer. Je le pris dans ma main droite pour le tâter et le caresser; il était chaud et dur; et tellement doux au toucher ! Jeus tout de suite envie de lembrasser.
- Vghigh ath-soudhnagah ! Bghit en-boussou ! Vghigh ath-mech-hagh ! Bghit en-lahsou ! (Jai envie de lembrasser ! Jai envie de le lécher !)
Il ne me répondit pas. Mais je vis à son sourire satisfait, quil nattendait que ça. Je tombais à genoux devant mon homme et me mis à embrasser lénorme engin. Et à le titiller avec la langue. Je me comportais comme une femme qui avait fait cela toute sa vie. Pourtant, mis à part les quelques pauvres fellations que javais faites à mon mari, je ne métais encore jamais comporté de la sorte.
Cela me paraissait tellement naturel de faire ce que jétais entrain de faire ! Tellement normal ! Je promenais mes lèvres sur toute la longueur de la queue et marrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures quune pierre. Il devait se raser, parce quil ny avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles.
- Ett-dhith ! (Tète-le !) fit-il dune voix qui ne souffrait pas que je lui résiste. Et pourquoi résister, quant tout mon corps me criait dobéir ? Je savais que jallais passer un mauvais quart dheure avec un tel engin dans ma bouche, mais jétais prête à tout. Jouvris la bouche et fis pénétrer lénorme queue dans ma bouche. Je pensais lui administrer une superbe fellation. Je me disais que jarriverai à satisfaire mon amant avec ma bouche, ma langue et mes lèvres. Mais lui, ne lentendait pas de cette oreille : il ne voulait pas se contenter dune simple
fellation ! Il voulait me baiser par la bouche! Il me le fit comprendre en mattrapant par la tête et en faisant pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. Javais un grande bouche; je neus donc pas trop de mal à laisser pénétrer le monstre à lintérieur. Mais lui, il voulait aller plus loin : bien au-delà de ma gorge. Dès que le gland atteignit ma gorge, je me sentis . Lengin était trop gros et ne me laissait aucun espace pour respirer. Mouloud nen avait cure. Il poussait avec
son bassin pour forcer le passage. Il me tenait fermement par les cheveux, pour que je naie aucune possibilité de fuir. Et il poussait très fort.
Jessayais de le repousser un peu pour pouvoir respirer. Et puis lidée me vint de prendre la hampe du monstre à sa base pour lempêcher daller trop loin. Je réussis plus ou moins à trouver un équilibre entre nous : lui qui voulait aller le plus loin possible avec force et brutalité et moi qui voulait garder un espace pour pouvoir respirer et aussi pour ne pas vomir. Mais même comme cela, son sexe était encore trop long et dépassait la glotte et me donnait à chaque fois envie de vomir. Jentendais mon homme qui ahanait et marmonnait des bouts de phrases en kabyle. Des phrases dont je ne saisissais que des bribes. Il était question de douceur de ma bouche ; de ma langue électrifiée ; de chaleur et dhumidité de ma cavité buccale; et de la jouissance quil allait avoir dans ma bouche. Et pendant quil marmonnait, il continuait de me démolir la gorge.
Il faisait sortir complètement lengin de ma bouche et, après une seconde de répit quil me laissait pour respirer, il le faisait repartir aussitôt à lassaut. Javais la paroi de la gorge qui me faisait atrocement mal. Mes yeux étaient plein de larmes et coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Et chaque fois que le monstre sortait de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive et parfois de vomis - que les va-et-vient forcenés quil mappliquait, me faisaient produire en quantité industrielle. Jentendais, comme sil était à des kilomètres de moi, Mouloud gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme sil voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
- Essew ezzel bourguez ! Esswith awk ! Essouw ezzel yahmane ! Ezzel yerghane ! (Bois le sperme dun homme ! Bois-le en entier ! Bois du sperme bien chaud ! Du sperme brulant !)
Je navais encore jamais reçu du sperme dans ma bouche. Ni même sur le visage ! Cétait la première fois que jen recevais au fond de ma gorge, et que jétais obligé de lavaler. Javoue que je navais aimé ni le goût, ni lodeur, ni la viscosité du produit ; mais je mefforçais de faire ce que me commandait mon homme. Avaler son sperme ! Et le fait quil me lordonne dans notre langue maternelle, ajoutait à lobligation de le faire. Jessayais donc, sans complètement y réussir, de boire la première giclée. Javais failli ; je dus donc en recracher une grande partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, Mouloud décida de lâcher le reste de son foutre sur mon visage, en se masturbant. Javais du sperme partout : sur les yeux, le nez, les joues, les cheveux, le cou, les seins. Jétais heureuse ! Car même si je navais pas pris beaucoup de plaisir dans lopération, jétais heureuse davoir fait jouir mon homme. Je voyais à son visage éclatant de lumière, quil avait été heureux. Il avait le sourire béat de lhomme qui venait davoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et quil essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :
- Tu es merveilleuse ! Et vaillante ! Et cest la première fois que tu fais cela ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient accepté un tel traitement. Tu es vraiment magnifique avec tout ce sperme sur le visage et sur le cou ! Mais la prochaine fois, il faudra que tu tefforces de tout boire. Tu verras que tu finiras par aimer son goût et que ce sera toi qui en redemanderas.
- Tu ne mas pas encore baisée ! Je veux que tu le fasses par devant et par derrière. Je veux tout essayer cette nuit. Je veux être ta chienne. Avant que je ne retrouve Rachid, je voudrais avoir tout fait. Pour lui raconter. Tu te sens dattaque ?
Cétait moi qui maintenant devenait exigeante. Javais goûté à ladultère et je voulais aller jusquau bout. Jétais fatiguée par tout ce qui venait de se passer, mais je ne voulais pas que la nuit finisse sans que mon merveilleux amant ne me donne un avant goût de ce que sera ma nouvelle vie. Une vie de plaisirs érotiques sans limites. Une vie que Rachid, mon mari partagera avec moi en participant de temps en temps à mes ébats avec Mouloud, puis plus tard avec dautres homme, mais le plus souvent, en restant à lécart à me regarder jouir comme une folle.
Mais, pour linstant, ma première nuit adultère nest pas encore terminée.
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